mercredi 26 août 2009

Le cycle de la vie

On a vraiment une vie de merde, quand on a 18 balais et qu'on traîne encore chez ses vieux.

mardi 25 août 2009

Petit message sans intérêt...

... tout simplement pour vous signaler que, moi aussi, j'ai investi dans un aquarium, au cas où certains d'entre vous s'ennuieraient en me lisant. Vous pouvez cliquer pour nourrir les poissons , mais n'oubliez pas : ils peuvent très facilement mourir de sur-nutrition. Et les humains aussi.

Petite réflexion

Depuis quelques jours déjà, le bordel dans ma chambre devient un peu trop envahissant. Et depuis quelques jours déjà, le bambin bien organisé que je (ne) suis (pas) se doit de fiche ces monceaux d'ordures, de paperasse et de poussière à la poubelle, pour retrouver un espace de vie plus spacieux et plus sain.
Manquant de tout sauf de bonne volonté, ce bambin-là, un jour, se saisit d'une poignée de papiers trouvée au hasard dans le fond d'une penderie, et décida, tout amène, de la trier. Ô, malheur à cet esprit naïf qui venait alors de tomber sur une liasse de vieux, vieux, très vieux dessins et autres croquis - il faut savoir que le bambin aime, en général, regarder dans son passé, pour se souvenir de qui il n'est plus.
Bref, en gros j'ai repéré, entre autres, quatre dessins à l'encre de chine qu'à l'époque je trouvais affreux :


Réflexion faite, je ne trouve pas ces dessins affreux pour un sou. Au contraire, je les trouve plutôt intéressants, avec le recul.
Comme quoi, la création en général demande avant tout une très forte subjectivité dans sa démarche, qu'il est ensuite très dur de chasser dans son jugement - sachant aussi que le jugement est, par définition, rarement objectif.
S'agirait-il donc d'éviter de juger "à chaud", mais d'attendre quelques temps avant de pouvoir être sûr d'adopter le bon point de vue sur une création quelconque ? La question se pose, car il m'est plusieurs fois arrivé d'être trop enjoué, ou trop déçu, par ce que je venais de dessiner ou d'écrire, souvent à tort. Une autre question se pose alors : était-ce vraiment "souvent à tort" ? Quel est, au final, le plus pertinent des deux jugements : le premier, spontané, encore plein d'émotion et de subjectivité, ou le second, distancié et vierge de toute ambition ?

Et, oui, je sais, j'avais dit que j'allais créer, et voilà que je me repose déjà sur des anciens papiers... Mais au final c'est mon blog, j'y fais ce que je veux, et si vous continuez à me chercher comme ça je décide de vendre de la drogue.

lundi 24 août 2009

Alors comme ça, tu t'amuses à bloguer.

Hé oui.
Ça y est.
J'ai fait un blog.

Rentrons plus en détail dans une lamentable confession : comme tout le monde, je commence à bloguer pour une bonne raison qui est celle de se montrer ; de montrer ce qu'on fait, ce qu'on veut, ce qu'on vaut. Mais ce blog revêt aussi une toute autre utilité qui est celle de... me forcer. C'est exact. Je veux me forcer à produire des textes, des dessins, des bédés, de la musique, des trucs en tous genre qui peuvent se foutre en ligne, sans prétention aucune. Car sans support de publication (le micro-site se révélant idéal en la matière), je stagne, trépigne, manque de motivation, commence mais ne termine jamais.
Tout ne sera pas bon, c'est une évidence ; j'espère seulement que tout tendra vers le progrès.

Chers lecteurs inexistants, je vais vous révéler ma vie textuelle, en long, en large, et en travers.
Merci de votre aimable attention.