mardi 11 décembre 2012

jeudi 22 novembre 2012

ass.jpg

Quelle est la force ultime qui, au delà de tout, dirige l'être humain ?
Est-ce l'inépuisable marche du temps, fleuve infini, effrayant courant qui traîne les hommes au rythme de sa volonté ?
Est-ce la puissance de l'amour, projection par et dans l'autre, métamorphose du moi en nous ?
Est-ce la transcendance de l'art, déjection divine de l'activité humaine, suprême défouloir individuel, absolue catharsis populaire ?
Est-ce la passion du savoir, démêlant les langages et les concepts, les causes et les conséquences, élevant l'homme au delà de ses perceptions ?
Est-ce alors l'abnégation, le sacrifice des hommes au service d'une simple idée, d'un espoir ?
 

mercredi 14 novembre 2012

Internet Comic #5

« INTERNET »

dimanche 11 novembre 2012

Internet comic #4

« TRUC »

mercredi 7 novembre 2012

Internet comic #3

« UTÉRUS »

vendredi 19 octobre 2012

Fonds

 Pour vous les amis
Des supers fonds d'écran.
Disponibles en 1366*768 et 1280*1024
Les autres, allez vous faire foutre.


















et voilà

samedi 13 octobre 2012

L'enfant

vendredi 12 octobre 2012

La Musique Numérique Des 2080





DE LA MUSIQUE DU FUTUR


























jeudi 11 octobre 2012

mercredi 10 octobre 2012

samedi 6 octobre 2012

vendredi 5 octobre 2012

pq



jeudi 4 octobre 2012

mercredi 3 octobre 2012

allez

mardi 2 octobre 2012

MON POUSSIN

C'est un fait : je n'ai pas trop d'amis. Il existe à vrai dire peu de gens qui m'intéressent, et encore moins que j'intéresserais.
Pourtant, il m'arrive souvent de sortir, car j'aime sociabiliser de la manière la plus hypocrite, et surtout de la manière la plus temporaire possible. Alors je me lave, je me sape un peu, et je sors dans mon quartier, vers onze heures du soir, un vendredi ou un samedi. De temps en temps, je croise une fenêtre éclairée à travers laquelle on entend le fameux bruit de la fête – celui, trop fort, d'une musique médiocre, mélangé à des piaillements tout aussi médiocres, résultats de plusieurs discussions simultanées délayées dans un affreux vin rouge.
Je me démerde toujours pour entrer dans l'immeuble, et toquer à la bonne porte. C'est une question d'habitude.
On m'ouvre, et je viens de la part d'Hugo. Les fois où ça n'a pas marché, je les compte sur les doigts de ma main droite.
Seulement, cette fois-là, ça sentait les emmerdes à plein nez.
Je toque, je m'annonce comme un bon ami d'Hugo. Là où je me suis planté, c'est que la soirée est un peu restreinte. Par le bâillement de la porte, je remarque une petite dizaine de personnes assises sur des fauteuils et canapés. Bon, à tous les coups, aucun Hugo n'y boit du Martini, et je vais devoir repartir à la recherche d'une autre soirée, après un bref message un peu gêné de la part de l'habitante.
Là où je me plante encore, c'est que la fille qui m'a ouvert se tourne vers ses amis, et appelle Hugo.
« Tu m'avais pas dit que t'invitais un pote. »
Merde.
« Un pote ? Ah, ouais, pardon, j'ai complètement oublié de te prévenir, putain j'suis désolé.
– T'inquiètes. »
La fille m'adresse un sourire.
Hugo s'avance vers moi, me sert la main en premier.
« Bah rentre voyons. T'as trouvé facilement ? »
Je me fais un peu emporter par la situation. Je hasarde un « salut... » pas très engagé, en regardant les convives.
« Je vous présente Arthur. »
Comme ça, je m'appelle Arthur. Putain de merde, je déteste ce prénom.
« Salut. Salut. »
Il faut serrer la main à tout le monde. Parfois, faire la bise. Et avoir l'air naturel. Je vais me bourrer un peu la gueule et tout ira bien.
« Je suis désolé, j'arrive les mains vides... L'épicerie était fermée. 
– T'inquiète, on a tout ce qu'il faut ici. Une bière ?
– Volontiers. 
– Suis-moi, c'est dans la cuisine. »
Hugo m'emmène dans la cuisine, qui se trouve après un petit couloir. Pendant le bref chemin, il me lance quelques petits « alors quoi de neuf ? » ou « ça se passe ton boulot ? » auxquels je réponds à peine.
En retirant une bière du frigo, son ton change complètement.
« Alors comme ça on se connaît.
– J'en sais rien moi, tu me connais ?
– Non.
– Alors pourquoi tu m'as fait rentrer ? Je m'appelle pas Arthur d'ailleurs.
– Écoute Arthur, je t'ai fait rentrer par sympathie. Tu m'as l'air du genre de loser qui squatte les soirées, boit la tise des autres, profite de leur politesse et de leur hypocrisie pour se détendre tout à fait gratuitement, et surtout, qui manque d'amis. T'as tellement une gueule de perdant que j'ai eu pitié de toi. Mais je te connais pas. T'es peut-être aussi un salopard qui pousse tellement loin le vice, que tu vas repartir avec les fonds de tiroirs de ma pote, et un peu de weed que tu auras récupéré sur la table basse. Alors tu vas m'écouter. Je t'ai fait rentrer, donc je me porte garant de ta sympathie. Et je veux pas avoir de problème. Alors, au moindre écart, je serai là. »
Je sens une pointe froide contre mon flanc. Ce fils de pute me menace avec un couteau.
Il le retire, reprend son sourire, et va voir les autres. Je marche sur ses pas, pour éviter tout soupçon.
Ce connard m'a donné une chouette idée. Ça doit faire maintenant cinq ans que je squatte les soirées de gens inconnus, avec un rythme assez soutenu. Cinq ans, et je suis tellement con et honnête que j'ai jamais pensé à me faire un peu de thune lors de ces aventures. Un petit billet qui traîne, une montre, un peu de weed comme il disait. Pas grand chose, juste de quoi me faire un petit plaisir, sans risque.
Pendant que je discute avec Aristide, qui est bien chiant, je me convaincs de plus en plus de piquer des trucs à ces enfoirés. Je commence à regarder mon environnement. Je vois dix euros dans le vide-poche. Bingo. Très accessible, discret, si je prétexte d'aller aux chiottes.
En allant dans la cuisine chercher des bières, je trouverai peut-être un petit truc de valeur.
Après ça, je me casse.
De toute façon, ce Hugo n'osera pas me planter pour ça. Il a l'air assez malin pour savoir qu'il y risquerait un tas d'emmerdes judiciaires. C'est carrément du bluff, son histoire.
La soirée se passe assez vite, et je repars avec une bague et un billet de dix balles dans la poche, prétextant devoir me lever tôt le lendemain. Les gens m'ont apparemment apprécié ; certains me font du « à bientôt j'espère ! », « c'était sympa de te rencontrer », etc.
Bam, la porte se ferme, je me taille rapidement. Je suis plutôt satisfait de moi-même. Merci Hugo.
Me voilà presque arrivé chez moi quand j'entends : « Arthur ! »
Le mec derrière moi, c'est Hugo. Un couteau de 20 centimètres dans la main gauche.
« Je t'avais prévenu, fils de pute. »
Il se dirige vers moi à grands pas, assez vite pour me rejoindre avant que l'effet de surprise se soit dissipé.
« Arrête, fais pas le con, je lui dis. Tiens, je te le rends, c'est pas grand chose t'façon. »
Je lui tends le billet. Il me demande la bague. Cet enculé a tout vu. Je lui donne mon butin. Ça ne semble pas du tout le calmer.
Dans les films, quand le héros se retrouve face à un taré comme ça, il fait un peu le philosophe et fait réfléchir le taré sur lui-même jusqu'à ce qu'il fonde en larmes en se rendant compte que tout vient de sa mère qui l'a abandonné dans son enfance, ou une autre connerie dans le genre. Alors bien sûr, j'essaye d'enclencher le mécanisme.
« Pourquoi tu fais ça, Hugo ? »
D'un rapide geste de la main, Hugo plante son couteau dans mon cul. Les tarés ne se raisonnent pas, ou bien c'est moi qui sait pas comment m'y prendre.
Avec une lame enfoncée dans la fesse droite, je suis dans un vrai putain de piège. Je peux évidemment pas courir. Je peux pas retirer le couteau, sous peine d'hemorrhagie sévère. Je peux même pas m'assoir, merde, je peux même pas me tordre de douleur. Alors je reste debout, devant lui, et je l'écoute.
« Pourquoi je fais ça ? Pourquoi ? Ha. Bonne question. 
« Dans la vie, il y a différentes façons d'occuper son temps libre. La plupart des gens regardent la télé, ou vont faire des conneries sur internet. D'autres ont une vraie passion, et passent leur temps libre à faire des puzzles, fabriquer une maquette, ou aller pêcher la carpe. D'autre encore vont boire une bière avec leurs potes. Moi, la plupart du temps, je tue des poussins.
« Tu vois, un poussin, c'est vraiment pas cher. Si tu les commandes en gros, tu peux te démerder pour avoir l'unité à 50 centimes. Quand je suis en forme, j'en tue trois, ça me suffit. Donc au pire des cas, j'en arrive à moins de 2 euros la soirée.
« 2 pauvres euros pour un kiff franchement génial, et parfaitement légal. Dans mon petit atelier de torture, j'installe des tonnes de pièges fait maison, des outils pour mort lente, d'autres pour mort rapide. J'ai mes classiques, comme mes raretés. Et je tue ces putains de poussins, avec toutes sortes de techniques. Je les vois mourir, et ça me fait kiffer. Pour 2 pauvres euros. Alors que d'autres dépensent 80 balles en boîte de nuit, au même moment.
« On aime tous torturer, tuer... malgré tout ce qu'on peut nous foutre dans le crâne, on ressent tous un plaisir quasi sexuel à voir notre inférieur se faire tuer de nos propres mains. C'est une évidence, on le sait depuis longtemps. Mais on n'en profite pas. C'est une sorte d'abstinence, non ?
« Moi, j'en profite. J'achète des choses à tuer, sans faire chier personne. En toute légalité. Et je les tue. Tout le monde devrait faire ça. Ca donne du plaisir, ça soulage, ça maintient la forme intellectuelle et le bonheur. Comme le sexe stérile, qui, lui, est rentré dans les mœurs.
« Ce soir, tu es un peu mon poussin. Mais je ne te tuerai pas. Tu n'es pas mon inférieur, j'aurais donc du remors. Je vais simplement te laisser dans ta merde, celle que tu t'es fabriquée ce soir. Je vais te souhaiter bonne nuit, et partir, loin. En sachant que tu te souviendras de moi pour toujours. Mais que tu me reverras jamais. »

Si, par le hasard des choses, vous croisez un jour un jeune homme aux cheveux châtins mi-longs, aux sourcils sévères et au rictus malsain, qui porte dans ses bras une boîte de laquelle s'évadent une certaine quantité de piallements... ne vous emmerdez pas, tirez à vue.

mercredi 26 septembre 2012

non


jeudi 2 août 2012

Experience

Un peu d'odyssée à bord d'un vaisseau intergalactique plutôt coolos



samedi 21 juillet 2012

Prémices



Un embryon <3

jeudi 12 juillet 2012

Romantique


mardi 26 juin 2012

MMH


lundi 25 juin 2012

LE RÊVE LE PLUS FOU #14

c'est fini c'est fini c'est fini c'est fini


samedi 23 juin 2012

dimanche 17 juin 2012

vendredi 15 juin 2012

Une aventure

Ce matin, en guise d'aventure, j'ai bu mon café dans une canette de 8.6

samedi 2 juin 2012

Lucie


mercredi 30 mai 2012

Internet comic #2

Sur ce

a

r

m



n


d

lundi 28 mai 2012

Vieilleries





 J'ai retrouvé des musiques techno que je faisais jeune.
2003.
Comme le bon vin, ça se bonifie avec l'âge.

sper.me/eJay2003





















































 

jeudi 24 mai 2012

Witty Comics

Ce site est génial

J'ai commencé une série de bédés en utilisant ce moteur, que vous pouvez voir là :
http://www.wittycomics.com/users/Armnd

N'hésitez pas à m'envoyez vos trucs

Je t'aime




C'est une nouvelle musique

mercredi 23 mai 2012

lundi 21 mai 2012

Mon pseudo msn

(¯`·.¸¸.·´¯`·.¸¸.->  αямη∂  <-.¸¸.·´¯`·.¸¸.·´¯)

vendredi 18 mai 2012

Une aventure

Aujourd'hui, en guise d'aventure, j'ai mis mes chaussettes à l'envers.

mercredi 16 mai 2012